Le monastère de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Un village dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. La Moscova et la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou, depuis le parc Gorki. Photo Philippe Comte, été 2004. La tombe de Chaliapine - Cimetière du monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan Paysage de Khakassie - Photo : Elena Jourdan Une église dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Isba restaurée - Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Isba - Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Isba - Krasnoïarsk - Photo : Elena Jourdan Isba - village de Koultouk - lac Baïkal - Photo : Elena Jourdan Près d'Ekatérinbourg, le mémorial à la famille impériale. Photo Elena Jourdan
Le lac Seliguer, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan La source de la Volga, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Lac Baïkal - île d'Olkhon - Photo : Elena Jourdan Paysage typique - Sibérie- Photo : Elena Jourdan La place centrale de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Lors du concours de lutte traditionnelle "hourej", dans la République de Touva - Photo : Elena Jourdan "Entrée dans Jérusalem" (fresque) - Exposition au monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan Krasnoïarsk - Parc naturel "Stolby" - Photo : Elena Jourdan La Moscova à Moscou, monument à Pierre le Grand de Tsérétéli. Photo Philippe Comte, été 2004. "Na prestole" (fresque) - Exposition au monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan

Accueil > Le russe dans le monde professionnel > Témoignages sur l’utilisation du russe dans le monde professionnel > Témoignage de Fanny Ladeuil

Témoignage de Fanny Ladeuil

samedi 3 avril 2010


Témoignage de Fanny Ladeuil
Reçu le 6 mars 2010

Lorsque j’ai choisi d’apprendre le russe en 2e langue vivante, c’était seulement pour ne pas faire comme tout le monde. La langue m’a immédiatement plu. De plus, j’ai pu approfondir mes connaissances grâce à des voyages organisés dans mon lycée et eu la possibilité de voir réellement comment cette population vivait. Ce fut un moment inoubliable.

Puis, je suis devenue militaire. Je ne pensais pas que le fait d’avoir appris le russe me servirait dans ma vie de militaire, au contraire. Mais grâce à cette langue magnifique, on m’a proposé d’apprendre une deuxième langue slave, le serbo-croate, pour devenir interprète. Comme quoi, lorsque l’on choisit une langue vivante, elle peut nous servir longtemps.

A titre d’anecdote, je suis allée au marché de Noël de Strasbourg, où se tenaient des stands russes, et j’ai pu converser avec les personnes qui les tenaient, en russe bien évidemment, car elles ne parlaient pas d’autres langues. Ce fut, pour moi, un réel plaisir de pouvoir communiquer avec elles sans devoir mimer les choses pour se faire comprendre.

A l’heure actuelle, je ne suis plus interprète, mais cette petite histoire nous rappelle que ce que l’on apprend n’est jamais perdu et que nous pouvons être amenés à nous en resservir dans la vie de tous les jours.

Fanny Ladeuil
fanny.ladeuil@orange.fr



Près d'Ekatérinbourg, le mémorial à la famille impériale. Photo Elena Jourdan


Éditeur du site : Association Française des Russisants
Directeur de publication : Sylvette Soulié, Présidente de l'AFR
Webmestre : Sylvette Soulié