Lettre adressée par Myriam de Beaulieu, interprète aux Nations-Unies à Philippe Comte , président de l’Association Française des Russisants
Monsieur,
Je vous écris avec l’accord du Chef de la Section française d’interprétation des Nations-Unies (New-York).
Mon courriel a pour but de vous informer d’un article paru sur les besoins des services linguistiques des Nations-Unies en francophones, avec notamment le russe et la coopération entre l’ONU et des écoles d’interprétation.
Consulter l’article sur le site d’origine
Serait-il possible de le diffuser largement parmi les enseignants de russe ? Ils pourraient l’utiliser comme argument pour choisir le russe auprès de leurs futurs élèves et de leurs parents.
Comme me l’expliquait une enseignante de l’ESIT, il y a par exemple peu de candidats francophones aux examens d’entrée avec le russe. Donc, le rôle des enseignants en amont, dans les lycées est essentiel.
La France a la chance d’enseigner le russe dès la sixième, or, ce n’est pas le cas dans d’autres pays francophones.
Je vous prie de croire à l’expression de mes sentiments les meilleurs,
Myriam de Beaulieu
le 12 mars 2010