La place centrale de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. La Moscova à Moscou, monument à Pierre le Grand de Tsérétéli. Photo Philippe Comte, été 2004. Le cours du Ienissï, dans les monts Sayans - Photo : Elena Jourdan "Na prestole" (fresque) - Exposition au monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Isba - Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Un lac dans les Sayans - Photo : Elena Jourdan La Moscova et la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou, depuis le parc Gorki. Photo Philippe Comte, été 2004. Isba restaurée - Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan La tombe de Chaliapine - Cimetière du monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan Krasnoïarsk - Parc naturel "Stolby" - Photo : Elena Jourdan
Isba - village de Koultouk - lac Baïkal - Photo : Elena Jourdan Un village dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Le lac Seliguer, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Entre Moscou et l'Oural, vue du train. Photo Philippe Comte, été 2004. Paysage de Khakassie - Photo : Elena Jourdan Lac Baïkal : lieu chamanique sur l'île d'Olkhon - Photo : Elena Jourdan Près d'Ekatérinbourg, le mémorial à la famille impériale. Photo Elena Jourdan Une église dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Lors du concours de lutte traditionnelle "hourej", dans la République de Touva - Photo : Elena Jourdan La source de la Volga, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Lac Baïkal - île d'Olkhon - Photo : Elena Jourdan

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Pourquoi le russe ?

lundi 10 octobre 2011


Le russe est une langue formatrice qui contribue à l’ouverture d’esprit, mais aussi à la formation d’un cadre rationnel et rigoureux. C’est une langue structurée et structurante qui développe des qualités de logique et de méthode.

Le russe permet d’avoir accès à une culture d’une très grande richesse qui fait partie de la culture mondiale. Il aide à comprendre un mode de vie et une manière d’être différents de ceux des Français, à cerner la fameuse « âme slave ».

Le russe est l’une des langues les plus parlées au monde avec presque 300 millions de locuteurs, devant l’allemand et le français. C’est la plus répandue parmi les langues slaves. Elle est en effet utilisée dans tous les pays émanant de l’ex-URSS et au sein de la diaspora russe présente dans de nombreux pays du monde, y compris la France. Par ailleurs, de plus en plus de Russes viennent en France pour leur travail ou en touriste. Le russe est également très présent sur Internet où il donne accès à des ressources d’une grande richesse.

La Russie siège au Conseil de l’Europe et fait partie du G8 ; le russe est l’une des langues officielles de l’ONU et de l’UNESCO. Les échanges culturels, scientifiques et économiques s’intensifient entre la Russie et l’Union Européenne créant de nouveaux débouchés.

Avec plus de 140 millions de consommateurs et un taux de croissance parmi les plus dynamiques au monde [1], la Russie représente un grand enjeu économique et attire les hommes d’affaires, les entreprises de production et de services (environ 700 entreprises françaises actuellement installées en Russie). Selon une étude européenne, le russe est déjà la 4e langue la plus utilisée par les PMI [2] européennes travaillant à l’export (8%, alors que seulement 4% utilisent l’espagnol) et est la 4e langue dans l’ordre d’importance pour les années à venir (12%, contre 4% pour le chinois) [3].

A compétences égales, la maîtrise du russe est souvent considérée par les recruteurs comme un sérieux atout professionnel. Il est de plus en plus recherché par les entreprises dans des domaines aussi divers que l’économie, la gestion, le droit, les sciences et techniques, l’informatique, le journalisme, l’agroalimentaire, l’édition, l’immobilier, le tourisme, la coopération spatiale, médicale et culturelle. La génération des 20 ans d’aujourd’hui jouit d’un privilège extraordinaire : elle peut aller en Russie, s’y déplacer librement et y trouver du travail, ce qui n’était pas le cas il y a une trentaine d’années. Et sachez-le : la France manque de russisants.


Pour plus d’informations, vous pouvez consulter notamment Pourquoi apprendre le russe de Stéphane Renault (éditions L’Etudiant, 2007) dont ce document reprend les arguments principaux.

Notes

[1Taux de croissance russe était de 8,1% en 2007, de 5,6% en 2008, de -7,9% en 2009 pour cause de crise, puis de 3,7% en 2010 et 5% en 2011

[2Petites et moyennes industries

[3Source : l’étude ELAN commandée par la Commission européenne, publiée en décembre 2006. Pour plus d’informations, cliquez ici



Le monastère de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004.


Éditeur du site : Association Française des Russisants
Directeur de publication : Sylvette Soulié, Présidente de l'AFR
Webmestre : Sylvette Soulié