Le russe : pas aussi difficile qu’on le croit !
Contrairement aux idées reçues, l’étude du russe dans le cadre scolaire n’est pas plus difficile que celle d’une autre langue :
– Malgré l’importance de l’accent tonique, la prononciation du russe est plus facile pour les francophones que celle de l’anglais. Le grand nombre de mots d’origine française, anglaise, grecque et latine passés dans la langue russe facilite l’apprentissage du vocabulaire. Le russe ne comporte que trois temps verbaux ; la concordance des temps ainsi que le conditionnel et le subjonctif sont quasi inexistants.
– L’apprentissage de l’alphabet se fait progressivement et donne lieu à des exercices de calligraphie appréciés de nombreux élèves. Les règles de lecture étant beaucoup plus simples qu’en anglais et en français, le cyrillique n’est donc pas un obstacle.
– Le russe, tout comme l’allemand, est une langue à déclinaisons dont l’approche est facilitée par la connaissance du latin. L’introduction des six cas est étalée sur une année scolaire, ce qui permet à chaque élève de les assimiler à son rythme.
– La quantité de travail personnel à fournir n’est pas plus importante qu’en cours d’anglais, d’espagnol ou d’allemand. Chaque élève peut réussir à condition d’apprendre son cours régulièrement.
– Les groupes de russe sont généralement plus petits que les classes d’anglais, d’espagnol ou d’allemand, ce qui favorise la participation de chaque élève et permet au professeur d’assurer un suivi plus personnalisé.
– En dehors des cours, les élèves de russe se voient régulièrement proposer des activités culturelles : repas russes, sorties au théâtre, visites de musées.
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