Le monastère de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Paysage typique - Sibérie- Photo : Elena Jourdan Lac Baïkal - île d'Olkhon - Photo : Elena Jourdan Près d'Ekatérinbourg, le mémorial à la famille impériale. Photo Elena Jourdan La Moscova et la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou, depuis le parc Gorki. Photo Philippe Comte, été 2004. Le lac Seliguer, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Entre Moscou et l'Oural, vue du train. Photo Philippe Comte, été 2004. Isba restaurée - Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Isba - Krasnoïarsk - Photo : Elena Jourdan Le cours du Ienissï, dans les monts Sayans - Photo : Elena Jourdan "Entrée dans Jérusalem" (fresque) - Exposition au monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan
Irkoutsk - Photo : Elena Jourdan Un lac dans les Sayans - Photo : Elena Jourdan La place centrale de Torjok, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. La tombe de Chaliapine - Cimetière du monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan "Na prestole" (fresque) - Exposition au monastère Novodevitchi, Moscou - Photo : Elena Jourdan Lors du concours de lutte traditionnelle "hourej", dans la République de Touva - Photo : Elena Jourdan Isba - village de Koultouk - lac Baïkal - Photo : Elena Jourdan Un village dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Lac Baïkal : lieu chamanique sur l'île d'Olkhon - Photo : Elena Jourdan La source de la Volga, région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004. Une église dans la région de Tver. Photo Philippe Comte, été 2004.

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Témoignage de Gérard Pierson

lundi 1er mars 2021, par Sylvette Soulié


La mention du russe dans mon CV m’a sans doute été utile pour entrer à la bibliothèque du CNRS (entre 1967 et 1969) (et aussi alors mes notions de chinois, mais j’étais loin alors d’être "opérationnel")
En revanche, pour entrer à la Direction de la Recherche (service documentation) d’Ugine-Kuhlmann (un des fleurons de l’industrie française d’alors) en 1969 (où je suis resté jusqu’en 1984), mon test d’embauche a été très simple : traduction orale instantanée, à brûle pourpoint, sans aucune préparation, d’un texte scientifique sur les agents tensio-actifs cationiques et anioniques. Et l’essai a été très rapidement concluant, puisque je fus embauché sur l’heure (je crois qu’ils s’attendaient aussi que je sois un bon traducteur d’allemand…, mais j’ai été maintenu à ce même poste après mes 3 mois d’essai)
J’ai quitté, après les nationalisations de 1981, d’autant que la holding a été complètement éparpillée.
De plus, et surtout, j’avais déjà, depuis un certain temps, un premier client régulier (le "Cemenbureau - Bureau européen des ciments" où j’avais à traduire directement du chinois en anglais sur les "propriétés physico-chimiques des alumino-silicates dopées avec des déchets industriels renferment des composés du phosphore").
J’ai terminé avec pour grand client régulier l’Institut Français du Pétrole sur "la catalyse en pétrochimie".
Si je me permets cet aparté, c’est que le service traduction pour le chinois était confiée à Mme Répine ou Reptine (elle dû prendre sa retraite dans les années 90’) qui était responsable du… Russe !



Près d'Ekatérinbourg, le mémorial à la famille impériale. Photo Elena Jourdan


Éditeur du site : Association Française des Russisants
Directeur de publication : Sylvette Soulié, Présidente de l'AFR
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